

DERNIÈRE PARUTION
DE L'ESTIME DE SOI À L'ÉPANOUISSEMENT
S’accepter soi-même radicalement pour trouver enfin l’estime de soi et le pouvoir de dire oui à la vie.
Chacune des quarante pensées qu’elles nous offrent est l’équivalent de tout un livre ; un véritable condensé de sagesse et de science de l’homme qu’il ne faut pas lire d’un trait et ranger soigneusement.
Ces pensées sont au contraire à méditer en silence et lentement pour leur permettre de se hisser à la racine et comme aux origines de l’être afin de le nourrir, certes, mais surtout pour le réveiller et le réarmer pour qu’il s’engage consciemment dans une vie heureuse et féconde.

LIVRES DÉJÀ PARUS
Un jour, des mots…au delà des maux
PETIT CARNET
Chacune des quarante pensées qu’elles nous offrent est l’équivalent de tout un livre ; un véritable condensé de sagesse et de science de l’homme qu’il ne faut pas lire d’un trait et ranger soigneusement.
D'AUTRES RÉALITÉS
Les voyages initiatiques vécus dans les réalités non ordinaires des mondes oniriques nous offrent l’opportunité d’accepter notre humanité et de nous éveiller à notre vraie nature.
LIBÉRER SES VOIX
L’Univers de la voix souche par le fleurissement des chants de l’être, créé par Marguerite Lalèyê, bouscule, ouvre et transforme tout lecteur passionné qui décide de s’y plonger entièrement.
BONHEUR HEUREUX
Accéder au bonheur, c’est ouvrir mon coeur à la vie. C’est apprendre à voir mon monde intérieur et le monde qui m’entoure avec les yeux du coeur, afin que chaque instant de ma vie soit une bénédiction.
BLESSURES GUÉRISSEUSES
2014/ La vie est une somme d’expériences. Osez la vie c’est accepté ce que nous sommes, ce que nous créons. Donner du sens à ce qui est afin d’accoucher de la vie qui nous correspond.
POÉSIES D'ÂME
2010/ Au cœur de la brumaille, Marguerite Lalèyê se balade à travers les mots de sa mémoire. Lignes d’amour où tantôt les rires / des oiseaux / se gorgent / de pétales et tantôt des cris balafrent le temps.
GALERIE PHOTOS
« Toute la vie est une scène de théâtre, chacun fait sa partition et s’en va. »
Aristote